Accompagnements
Supervision collective
2 à 4 jours par an
En quelques mots...
Ce dispositif est directement inspiré des supervisions des professionnels de l’accompagnement et des masterclass d’entrepreneurs.
2 à 4 fois une journée par an, il permet aux collaborateurs de se retrouver, dans un cercle de confiance constitué de pairs de son entreprise de niveau équivalent, pour partager leurs expériences, leurs connaissances, leurs idées et leurs conseils.
Les membres du groupe travaillent ensemble, dans un cadre posé par un coach expérimenté, pour résoudre des problèmes professionnels, échanger des stratégies de réussite, partager des connaissances et se soutenir les uns les autres.
Chacun s’enrichit des cas apportés par les autres participants. Cela rend humble et confiant à la fois, et augmente le sentiment d’appartenance.
Le coach professionnel qui anime ces cessions sera garant de la structure de la réunion et de son cadre confidentiel, ouvert et honnête. Il facilitera la discussion et s’assurer que chaque membre du groupe a l’opportunité de participer pleinement, même s’il n’a pas de challenge à exposer.
Le principe de base de la supervision est double :
- la collaboration et la coopération dans un petit groupe peuvent aider à stimuler la créativité, à renforcer les compétences, à promouvoir l’apprentissage et à offrir un soutien mutuel
- le coach, extérieur à l’organisation mais choisi pour sa connaissance du monde de l’entreprise et du secteur concerné, procure objectivité et impartialité vis-à-vis de l’entreprise et de ses membres. Il est également capable d’apporter de nouvelles perspectives et opportunités d’amélioration.
Au-delà de ces rendez-vous, il est fréquent que les groupes ainsi créés s’entraident hors séances collectives.
Managers, DRH, mettre en place des groupes de supervision collective dans vos pratiques ont de nombreux avantages. A moindre coût, puisque ce sont des interventions très ponctuelles, elles permettent aux bénéficiaires :
- d’améliorer leur productivité : par ce biais, le collaborateurs résolvent leurs problèmes et trouvent des solutions plus rapidement.
- de développer leurs compétences : ce sont autant d’occasions d’apprendre de nouvelles compétences, issues de leur « cas » ou de ceux des autres, et de partager leur expertise.
- de renforcer leur motivation : les participants se sentent plus connectés et plus soutenus dans leur travail, ce qui peut renforcer leur motivation et leur engagement dans l’organisation.
- de développer leur leadership : c’est aussi une occasion de partager de manière ouverte leur expérience, de donner des conseils et de guider d’autres professionnels de leur domaine.
- de les fidéliser : peu d’entreprise offrent une telle opportunité d’amélioration et de développement en s’appuyant sur leurs ressources internes. Ceci contribue à créer pour le bénéficiaire un sentiment valorisant et autour d’eux un environnement de travail plus positif et plus collaboratif.
FAQ
Le sujets abordés en supervision varient en fonction des besoins et des intérêts des participants. Cependant, voici quelques exemples typiques de sujets qui peuvent être discutés :
- Développement de compétences : partage de stratégies et conseils pour développer leurs compétences professionnelles, telles que la communication, le leadership, la gestion du temps, la résolution de problèmes, etc.
- Défis professionnels : partage des défis professionnels rencontrés (un cas par personne). Prise de hauteur et recherche des solutions en groupe. Cela peut inclure des défis liés à la gestion des projets, des conflits avec des collègues ou des clients, ou des difficultés à atteindre des objectifs.
- Développement personnel : il est fréquent que certains cas incluent des sujets liés au développement personnel, tels que la gestion du stress, la prise de décision, la confiance en soi, l’estime de soi, etc.
Le superviseur apporte avant tout un cadre professionnel, ferme et bienveillant, permettant à chacun d’être le plus authentique possible.
Sa posture oscille entre celle d’un régulateur (harmonise les relations entre les participants et permet un travail de qualité), un formateur (fait des apports théoriques pertinents sur ce qui est vécu par les participants) et leader (amène à une résolution commune de problèmes). Les outils utilisés varient en fonction de ses pratiques et de la demande des participants. Cependant citons-en quelques un, bien connus des facilitateurs : brainstorming, SWOT, baromètres, chapeaux de Bono, CODEV, …
Enfin, il est utile de préciser que l’utilisation de ces outils peut être modélisant pour le groupe : chaque participant pourra se l’approprier et le reproduire avec son équipe de travail ou son équipe projet.
Des études et des chiffres :
- Une étude de l’Université de Stanford a montré que la combinaison de collaboration, de soutien social et d’enseignement était l’une des clés du développement professionnel réussi : les groupes de supervision collective répondent à ces trois critères !
- Selon une étude menée par l’Université de Californie, les groupes de supervision collective peuvent aider à accélérer l’apprentissage et à renforcer les compétences grâce à l’interaction sociale et à la rétroaction. Cela augmente également la motivation et de la confiance en soi des participants.
- Un article publié dans Harvard Business Review a souligné que les groupes de supervision collective peuvent offrir un soutien émotionnel, un feedback constructif et un échange de connaissances et de compétences. Ils peuvent aider à combattre l’isolement professionnel et à renforcer les relations interpersonnelles au travail.
- Enfin, dans une étude menée par l’Université de Virginie, les participants ont signalé une amélioration de la qualité de leur travail et de leur créativité grâce à leur participation à des groupes de supervision collective ou mastermind. Ils ont également signalé une augmentation de leur confiance et de leur motivation.
Alors n’hésitez pas et essayez ! L’impact sur le développement professionnel des collaborateurs, la qualité du travail, la créativité, la motivation et la confiance en soi est réel.
